Massytey

Et si je vous parlais encore une fois d’amour !!! acte 3

” ET SI JE VOUS PARLAIS ENCORE UNE FOIS D’AMOUR „ acte 3…

L'amour est un symbole de liberté et de contrainte.

”Encore une fois, il m’échappe et je le cherche. L’amour je crus pouvoir le dominer, sans pourtant savoir que l’amour nous domine, car c’est lui le prédateur, et nous les proies” massy Tey…

De la définition de l’amour je ne sais plus grand chose. À force de le vouloir définir, je finis par en perdre l’essence. L’amour m’a rencontré lorsque j’étais encore frêle. Dans l’insouciance même de la vie, où l’on croit tout posséder et appartenir à tout.

J’ai ressenti en moi à  ce moment là une joie vive,que rythmaient les battements de mon coeur. Il était là à ma portée. Je ne pouvais pas le retenir mais juste le contenir. J’étais amoureuse, je le savais.  Mais pourquoi moi ??? Je ne connais pas l’amour !

Je compris alors qu’il ne choisissait pas. Il s’imposait.

Il devinait notre besoin d’être aimer. Et il nous aimait.

L’amour, l’entends tu ???. C’est cette valse insouciante qui ne s’arrête jamais.

Il est ce trop plein de larmes qui ruissellent le long de ce visage apeuré de perdre l’être aimé.

Il est cette vague de douceur, indolente, malhabile,

mélancolique,

qui nous apaise et nous pèse à la mesure de nos sentiments.

Il est cette voie presque banale, que l’on prend s’en jamais savoir pourquoi.

C’est ce verbe qui nous amène à le conjuguer sans structure grammaticale.

Il est ce sentiment d’exactitude qui vous anime lorsque vous rencontrez l’être aimé…

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L’amour, le vois tu ?? C’est ce sentiment d’éloignement et de proximité…

C’est cette amertume tuméfiée par des années de solides tues

il est cette étrangeté divine, presque parfaite, qui anime de paix notre âme en peine…

L’amour c’est cette tourmente assidue de ne pouvoir être possédé et posséder.

Il est cette fissure indéfectible qui s’installe lorqu’on rompt nos habitudes.

L’amour, c’est l’ami hypocrite de tous les hommes.

Il est-ce doux baiser consommé après une nuit de délices voluptés

Dans la chambre à coucher, à l’heure des rêves sans lendemain,

il est ce grassouillement que font nos corps en s’éfritant encore !

Il est cette complainte intrépide, à l’annonce de la paternité

Il est ce rien qui forme un tout, et qui de rien déforme tout.

L’amour, c’est ce nous si absurde, cette envie soudaine de n’être qu’un,

C’est Cette nuit de tendres maladresses,

Bestiales et frivoles

Mais qui au fond nous empoisonnent

et à la fois nous raisonnent…

L’amour, c’est cette prière presque solennelle que l’on adresse dans toute la splendeur de la messe à notre Père éternel.

C’est cette donnée insaisissable, qui nous fait douter de notre amour,

              c’est cette douleur incolore qui colore nos vies éphémères

Il est cette vesprée obscure qui nous obscurcit de toute part…

Il est cette attache  presqu’inconstante

             L’amour, c’est ce besoin inextricable d’attention, cette teinte d’horizon unit en un seul mot

Il est cette nature imparfaite qui nous donne d’aimer les divines imperfections de l’autre.

L’amour c’est une somme, un compromis, une aventure inhumaine,

Un combat, une lutte.

L’amour c’est une complexité,

L’amour c’est une duplicité…

L’amour c’est tout simplement et avant tout cette ritournelle de larme,

     qui domine nos lamentations humaines

C’est cette douleur qui se tait,

Presque rancunière,

                Insoumise,

Mais debonère,

Qui prête à la vie un parfum éphémère,

Pour masquer ces chaînes muettes… By Massy Tey…

 


femme et maquillage, allié ou ennemi ??

FEMME ET MAQUILLAGE, ALLIÉ OU ENNEMI ?? 

 


Depuis la nuit des temps, se faire belle et être attrayante a toujours   fa

Chaque visage reflète une particularité qu’un maquillage efface,alors être belle au naturel serait une aubaine pour être qui on est réellement !

it partie du mode de vie de toutes les femmes ! Les femmes et leur maquillage, parfois un atout et même un ennemi, laisse resurgir en nous des questions et des réponses.

Qu’elles soient du moyen âge ou même de l’antiquité, ou qu’elles viennent du village ou de la ville,les femmes ont toujours su développer ces attraits qui ne laissent personne indifférent. Avec cette aire nouvelle où le numérique a pris le pas sur toutes les formes d’expressions, tous les moyens sont bons pour s’informer et s’approvisionner en matière de maquillage,et de tout article de ce genre.

« De Black Opal, à Maybellinn en passant par L’Oréal, de grandes marques de beauté font de chaque femme une vraie déesse grecque. »

Ces grandes marques de beauté ont su et savent faire preuve d’ingéniosité pour satisfaire et accroître leur clientèle. Mais se maquiller est-il toujours indispensable ?? Faut-il être conditionné à cette forme d’expression ???

À cette question, je dirai que chaque femme décide oui ou non de s’adonner aux maquillages et à toutes ces formes d’artifice. Elle décide également de la ligne à suivre pour se sentir belle et libre.

„Se maquiller permet de dévoiler une autre facette de notre personne jamais révélée  mais nous assujétit à une certaine forme de dépendance. ”

Beaucoup de femmes ne s’imaginent pas sortir sans un peu de fond de teint, sous prétexte qu’elles ne seront pas assez belles au naturel.

Et pourtant le naturel est le meilleur moyen de s’affirmer et de confirmer notre état d’être indépendant !

Une femme prend toute son assurance au naturel et ne doit utiliser le maquillage que pour rajouter un petit truc en plus, rien d’autre.

Le maquillage ne doit pas servir de couverture, ni d’alibi pour cacher nos traits. Il ne doit pas être un prétexte ni un mauvais conseiller.

Chaque femme incarne une vraie merveille qui se reflète sur son visage !
Armande Bouabré, un exemple typique de la beauté au naturel ! 

Bien plus notre peau a beaucoup plus besoin d’être naturelle pour nous éviter d’être confrontées à des rides et autres effets des produits de beauté qui à long terme ont des effets secondaires sur notre peau. Le meilleur moyen pour nous d’avoir une peau saine et toujours en bonne santé est de savoir utiliser notre maquillage afin qu’il ne soit pas un ennemi pour nous.

Cela ne signifie pas d’être tenté par tout ce qui nous tombe sous la main mais plutôt de faire preuve de bon sens et de maturité quant à l’utilisation de ces produits. Sachons appréciez notre beauté au naturel car au final c’est notre meilleur allié pour la vie !

Alors faisons en sorte de préserver notre charme naturel, avec un petit zeste de maquillage ! Ni plus, ni moins !

Massy Tey in Femme et Maquillage et allié ou ennemi ! 


Une fille, une école ! Donnons leur cette chance !

UNE FILLE, UNE ÉCOLE ! DONNONS LEUR CETTE CHANCE !

« Ce sont ces gestes si simples qui rendent la vie plus agréable, et le bonheur de voir une petite fille aller à l’école, encore plus beau » !

Quand j’étais plus petite, je ne connaissais pas réellement le sens de l’école.
Je savais juste qu’on y allait pour lire et écrire et aussi pour avoir ce peu de savoir qu’on apprenait nul part ailleurs.

Je faisais juste ce que l’on me demandait de faire et je m’en tenais à cela.
Plus tard j’ai compris pourquoi il était si important d’aller à l’école.

Au delà de savoir lire et écrire, l’école ouvrait mon esprit critique et ma capacité de réflexion.

Je me sentais plus à même de pousser la réflexion loin et de repousser mes limites.
Je n’avais plus d’appréhension, ni de doute mais une certaine sensation de liberté que jamais auparavant je  n’avais connu.

Cette délectation me confortait dans l’idée que j’étais une donnée individuelle au service d’une multiplicité et que mon apport au monde me serait tout autant bénéfique que profitable .

Je n’avais plus de peur.
Je contemplais mes jours de divine exaltation.
La lecture, la poésie étaient pour moi des prières.
Mon monde d’émotions s’était entrouvert et je ressentais le monde comme il était.

L’école m’a appris à être Homme, à développer mon Humanité, à être plus sociable et social, à me laisser guider par mon instinct et à ne jamais oublier qui je suis.

Aller à l’école a été pour moi un instant décisif dans la vie de mes parents.
Mais ayant fait le choix de la vie, ils nous ont donné à nous filles, femmes la chance de faire pencher la balance des inégalités de genre.

Grâce à l’école je suis à même de pourvoir penser et de pouvoir être une pensée.
J’ai cette possibilité de m’exprimer, de développer un savoir-faire inouï.

J’ai la possibilité de m’ouvrir à des perspectives d’avenir et  d’exister comme une entité première !

Grâce à l’école, la vie me paraît plus supportable, mes chances de réussite plus envisageables et le changement de mentalité plus possible.

Donner la possibilité à une fille, une femme, d’aller à l’école ne fait pas d’elle quelqu’un de détestable,  ne la rend pas plus superficielle que ça, ne la dégrade en rien.

Lui donner cette chance, est la meilleure des solutions pour lui garantir un avenir meilleur et sain.

Lui donner cette chance lui ouvre les perspectives d’une vie meilleure, d’une vie de pleine exhalation.

Donner cette chance à une petite fille, c’est rendre sa vie moins pénible et plus supportable.

Ne faisons pas cette erreur, de croire que la femme n’est bonne qu’à faire la cuisine !

Cette mentalité est à proscrire et à bannir de nos réflexions.

La place de la fille,femme est avant tout dans la connaissance et le savoir !
Alors faisons le choix de la vie !

Alors faisons le choix d’une vie ! Une fille, une école !


La femme, acte 1

CE QUE VEULENT LES FEMMES !

J’ai mis du temps à réaliser que pour être heureuse il fallait l’avoir décidé. Qu’une fois lancé le destin suivait son cours et que pour rien au monde les autres devaient nous dicter notre conduite.

La Bible nous enseigne d’être soumise à nos maris. Une bonne femme est synonyme de soumission, d’acceptation de tout et pour tout, seul l’homme a son mot à dire. En tout et pour tout, le bonheur d’une femme se résume en ces trois termes : soumission, éducation et ménage. Et si d’aventure elle osait employer ce terme, « liberté », alors les conséquences seraient terribles.

Depuis des siècles et des siècles les femmes sont soumises à ces stéréotypes qui font d’elles parfois des objets de décoration, des personnes sans valeur. Pour la tradition, elles ont été élevées pour être des automates. La femme est donc reléguée à sa fonction première, celle de rester soumise à son mari. Mais si de nos jours l’éducation de la femme lui donne un autre principe d’égalité, elle ne reste pas moins en dessous de l’homme. Il n’y a pas d’égalité véritable entre ces deux entités comme on veut nous faire croire. Il n’y a qu’une vague acceptation de ce qu’elles représentent réellement. A-t’on déjà pensé à ce que veulent les femmes ? Ou restons nous seulement confinées dans cette idée d’égalité, de parité ?

Ce que veulent les femmes, c’est avant tout d’être heureuse. Aucune femme ne dira qu’elle est suffisamment heureuse lorsqu’elle ne l’est pas réellement. Qu’elles soient jeunes filles ou femmes adultes, elles convoitent toutes la même chose : le bonheur. Un bonheur auquel elles n’ont pas droit, qu’elles refusent de revendiquer de peur de perdre leur dignité, leur place de femme.

Ce que veulent les femmes c’est aussi le respect, les attentions et l’acceptation de soi. La femme a toujours eu un besoin d’affection que parfois les hommes leur refusent. Ce besoin là pousse les femmes dans leurs retranchements et dans ce rôle dans lequel toutes les générations tendent à les y enfermer.

Une femme ne vit pas seulement pour ces enfants, son mari, comme on voudrait nous le faire croire. Elle vit également pour elle-même, pour son bien-être et son épanouissement personnel !

On oublie parfois qu’être une femme c’est devoir gérer un stress permanent et subir vraisemblablement une société qui tarde à évoluer et se développer.

Les femmes d’aujourd’hui ne sont plus celles d’autrefois qui avaient du mal à exprimer leurs sentiments ; celles d’aujourd’hui sont plus fortes,instruites,plus à même de dire non et plus à même de prendre leurs propres décisions.

Ce que veulent les femmes, c’est avant tout être comprises, car elles vivent dans cette crainte de non-acceptation du fait d’une éducation trop stricte ou d’un niveau trop élevé. Une femme a besoin d’exister et de résister mais elle a avant tout besoin d’un homme qui saura l’aimer car n’a t’on pas dit que la femme est la côte de l’homme ?

Affaire à suivre…


la plume de l’écrivain

la plume de l'écrivain

 

MA PLUME

c’est ma plume,

c’est elle qui ouvre mon âme à de belles envolées,

c’est elle qui ouvre mon esprit à n’écrire que la vie

C’est ma plume,

Celle que j’ai,

Cette plume qui m’anime et me déchire

Que j’ai parfois du mal à comprendre,

C’est ma plume,

Sans le vouloir, sans y prendre garde

J’ai délaissé ma plume,

Je l’ai blessée

J’ai ôté toute vie de son corps

Je n’ai pas su lui accorder une place de choix dans ma vie

Et mes nuits sont bien vides

Ces nuit où l’âme pensante, je déliais mes vers sur une feuille toute vierge,

Innocente de tous ces attraits que le charme même lui conférait

Des mots qui sans l’ombre d’un doute reflétaient l’illustre poésie que mon cœur lui dédiait

Ma plume se devait d’exister,

Je me devais de la parfaire !

Lui conférer une place de choix,

Lui donner une raison d’être

Ce n’était pas seulement qu’une simple plume,

Qu’une simple chose, un haillon

C’était avant tout une substance rare,

Une drogue qui vous envahit et qui vous fait exister

C’était de celles là qui conféra aux poèmes de Victor Hugo ou Baudelaire son caractère unique

Son caractère existentiel

Des vers par millier, j’aurais écrit,

Des poèmes, à chaque minute, se serait formé

De toute cette poésie, serait née une vraie romance,

Car seule ma plume savait aimer !

Sur les routes du savoir et de l’écrit,

Sur les voies qui mènent à des cieux indélébiles,

Elles marque les cœurs de son attrait habile,

Ma plume,

Celle qui n’a besoin de rien pour vivre,

C’est ma plume,

Qui subsiste, qui s’adapte

Et aujourd’hui encore, elle sait nous charmer,

Celle qui n’a nul besoin d’aller à l’école de l’écrit

Car de ses mains ce cache un vrai savoir-faire,

Que seule une âme bien née pourrait parfaire !

Lucie akouvi Tetey, ma plume